Un matin de 2016, un mois après le début de ce que j’appellerai le beau, le vrai creux de la vague, je surprends mon esprit en train de répéter en boucle une, puis deux… puis 5-6 phrases, disons… inhabituelles. C’était interpellant, un peu comme si quelqu’un d’autre habitait mes pensées.
Tant qu’à faire, j’ai pris un stylo, un papier et j’ai noté ces phrases qui continuaient à tourner dans ma tête. Cela a duré environ un mois et demi à raison d’une, deux nouvelles phrases chaque jour.
Parfois je trouvais cela amusant, parfois cela ressemblait à ce que j’imagine être un accouchement sans péridurale. Je m’en suis rendu compte en cours de route, tout ça colorait mon mal-être intérieur d’une manière très personnelle.
Quand la dernière phrase est arrivée, et bien… j’ai su que c’était la dernière, tout était dit.
Durant les 18 mois qui ont suivi, j’ai relu ces 60 messages près de 2000 fois, j’étais comme poussé à le faire, comme poussé à me les (ré)approprier, à m’en imprégner toujours plus.
En même temps, je savais au fond de moi qu’ils ne m’étaient pas destinés à moi seul, que je devais en faire quelque chose, les transmettre. À qui ? À tout le monde…
OK mais comment faire, comment présenter les choses ?
Fin 2018, j’ai compris. Et me voilà.
C’est au cours d’une Promenade de conscience que je vous partage ces messages, ces révélations qui m’ont aidé à passer un cap difficile ; et si je parle de promenade, c’est parce qu’il s’agit d’un cheminement, que je l’ai vécu comme ça, jour après jour, parsemé de ces révélations, telles que je vous les livre, à la virgule près.
Que ces enseignements résonnent en vous, vous emmènent vers de nouvelles structures de liberté, c’est là mon unique souhait.